Thématique n°2
Montmartre à la Belle Époque - Tome 1
Yvette Guilbert (1865-1944) a inventé une nouvelle façon d’interpréter les textes au café-concert en les parlant – et les chantant en même temps…
Militant pour l’égalité des sexes en matière de liberté d’expression, avec La pocharde, la première chanson qu’elle ait écrite pour affronter un public qui lui était hostile, Guilbert a conquis le droit de s’exprimer dans un registre libertin jusqu’alors réservé aux hommes : « Je fais très rar’ment des folies, Mais quand j’en fais, ah ! nom de nom ! Je dépass’ tout’s les fantaisies : J’suis plus une fill’, j’suis un garçon : A moi l’plaisir, la rigolade »
Outre la grivoiserie revendiquée de certains de ses textes, Guilbert aura aussi créé un répertoire de chansons naturalistes, car l’artiste voulait dire et chanter le Paris « des petits logements pauvres, ou très modestes, dans des rues populaires, des escaliers humides, sales, des cours grises, étroites, sans air, des chambres où l’on n’avait pas chaud l’hiver, où l’on mourait de chaleur l’été. »
Diseuse-chanteuse de la Belle Époque, artiste femme de grande culture, outre son œuvre Guilbert est aussi connue pour avoir fréquenté le Chat Noir et entretenu des affinités intellectuelles avec les artistes les plus exigeant(e)s de la butte Montmartre…
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Yvette Guilbert diseuse-chanteuse Fin de siècle
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Yvette Guilbert a inventé une nouvelle façon d’interpréter les textes au café-concert en les parlant – et les chantant en même temps…
Militant pour l’égalité des sexes en matière de liberté d’expression, avec La Pocharde, la première chanson qu’elle ait écrite pour affronter un public qui lui était hostile, Guilbert a conquis le droit de s’exprimer dans un registre libertin jusqu’alors réservé aux hommes : « Je fais très rar’ment des folies, Mais quand j’en fais, ah ! nom de nom ! Je dépass’ tout’s les fantaisies : J’suis plus une fill’, j’suis un garçon : A moi l’plaisir, la rigolade »
Outre la grivoiserie revendiquée de certains de ses textes, Guilbert aura aussi créé un répertoire de chansons naturalistes, car l’artiste voulait dire et chanter le Paris « des petits logements pauvres, ou très modestes, dans des rues populaires, des escaliers humides, sales, des cours grises, étroites, sans air, des chambres où l’on n’avait pas chaud l’hiver, où l’on mourait de chaleur l’été. »
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